600 brochures antidrogue distribuées
Après avoir reçu la brochure sur la cocaïne, une jeune femme est venue à notre stand. Elle nous a dit l’avoir lue quelques minutes auparavant dans un café et l’a trouvée très bien. Elle nous a expliqué qu’elle travaille avec des jeunes en difficulté qui consomment souvent des drogues, mais qu’elle n’était pas à l’aise pour leur parler de la drogue car elle manque d’information à ce sujet. Elle a pris un coffret antidrogue et le DVD, « La vérité sur la drogue » afin de se former et devenir plus compétente.
Une autre personne qui s’est engagée dans un parti politique est venue à notre stand afin d’obtenir plus d’informations sur les dépendances. Elle nous a dit qu’elle était dépendante au sucre et que pour elle c’était une drogue. Elle prenait ceci très au sérieux. Elle a expliqué que parfois elle ressent des impulsions à consommer du sucre et que si elle ne peut pas les contrôler et qu’elle n’a pas réussi à en avoir, elle se sent mal. Cela a pris une telle ampleur qu’elle se fait du souci pour sa santé. Nous avons lui expliqué que cela peut être dû à des problèmes physiques et qu’on ne peut pas parler d’une dépendance. Nous lui avons également expliqué ce qui sont exactement une drogue et une dépendance et pourquoi les traitements psychiatriques dans son cas ne sont pas la réponse correcte et ils ne ressoudent rien. Des thérapies alternatives qui ne font pas usage de médicaments existent et on peut se renseigner sur internet. À la fin de la conversation, elle se sentait très soulagée et nous a remercié de l’avoir écoutée.
